14 leçons apprises du mois de novembre

En me concentrant pour faire le point sur mon mois de novembre, j’ai retenu quelques leçons que j’ai le plaisir de partager avec vous ici. Ce mois a été fructueux pour moi et vous allez le constater surtout en terme de besoin de travail profond sur moi-même.

1. Pour la plupart du temps, il ne sert à rien d’engager le jeu si on n’a pas gagné le jeu mental

C’est certainement la meilleure leçon que j’aurai apprise en ce mois d’avril. J’ai essayé des choses par le passé et je n’avais pas le résultat que je voulais non pas parce que je n’étais pas assez engagé ou déterminé ou que j’étais peu actif. J’étais fragile mentalement. Quand j’ai compris que le meilleur jeu à gagner c’est le jeu mental, je passe maintenant plus de temps à me préparer mentalement qu’à m’efforcer.

2. Je ne peux pas obtenir ce que je ne veux pas donner

Ainsi qu’on ne peut pas avoir le sourire sans sourire, je ne peux pas espérer de l’abondance dans ma vie et dans ma carrière si je n’en donne pas en abondance. Et mieux j’obtiens ce que je vibre. J’obtiens ce que je pense. J’obtiens ce que je sens. Cette leçon m’a amené à commencer à faire attention aux pensées et émotions que j’entretiens surtout qu’on devient ce qu’on pense, ce qu’on sens, ce qu’on dit et ce qu’on fait la plupart du temps.

3. Tant que le travail n’est pas terminé le beau résultat n’apparaitra pas

Vous savez que nous sommes très impatients lorsque nous initions des projets ou voulons développer nos entreprises ou nos carrières. Mais notre impatience ne peut réduire le travail exigible pour obtenir les résultats que nous espérons. Il faut accepter faire le travail nécessaire. Ok j’ai compris, je vais continuer de faire tout le travail nécessaire. Bonne nouvelle : je suis plus libéré ainsi. Enfin, tant que le beau résultat n’est pas là, je dois continuer le travail.

4. Parfois vous réussissez, parfois vous apprenez juste des leçons.

J’ai reconduit certaines « bêtises » en ce mois d’avril. Je ne voulais pas les répéter. Je croyais que j’en avais fini avec. La bonne nouvelle cette fois-ci c’est que j’ai pu apprendre des leçons que je n’ai pas su apprendre les fois précédentes. C’était l’intérêt à les remettre peut-être. Certains de mes projets et aventures n’ont pas marché mais la bonne nouvelle est que j’ai appris au moins des leçons non apprises avant comme c’est souvent le cas. Parfois vous réussissez (et c’est super), parfois vous échouez et vous apprenez des leçons (et c’est encore super pour réussir la prochaine fois).

5. Je ne suis pas la source de mes grâces

C’est un constat extraordinaire que j’ai fait. Bien sûr, en tant que croyant je prie pour demander des grâces à Dieu mais me rendre compte de ce que je n’ai pas d’effort à faire pour être comblé de grâce, que j’ai juste besoin d’être en connexion avec la source de mes grâces a été une expérience transformatrice qui va me marquer tout le reste de ma vie. Je sais maintenant que si je suis connecté à la Sagesse divine, je n’aurai besoin de faire aucune autre demande pour être comblé exactement comme le Roi Salomon. J’ai compris que si je peux m’appliquer à écouter et à rester connecté à Dieu le reste viendra; c’est une découverte magnifique que j’ai faite et je rends grâce pour cela.

6.La meilleure façon d’assurer le succès, c’est de penser et d’agir comme si le succès était déjà là

Après avoir étudié les 29 CD du programme Ultimate Edge de Anthony Robbins les deux derniers mois, j’ai su apprendre à rendre grâce pour ce que j’ai et pour ce que je veux avoir. Cette expérience m’a permis de savoir que si je sais maintenir les pensées et les émotions que je veux vivre une fois que les résultats que je veux avoir seront là, je vais plutôt accélérer la manifestation de ces résultats. Et ça a été le cas. Exercice simple et efficace que je vais poursuivre tout au long de ma vie.

7. Si la cause est maintenue, le problème sera constamment là

Je me suis demandé au milieu de l’année : « Berkiss, pourquoi ce problème persiste-t-il ? ». Le temps que je ferme et ouvre mes yeux, je me suis rendu compte de ce que la cause est toujours là. Alors je me suis dit : « Eliminons la cause donc ». Et c’était plus simple. Pour tout défi que vous avez et qui persiste, il y a une cause qu’il faut tout simplement éliminer. Si elle est là, le problème sera là.

8. Je suis la personne la plus difficile à diriger

Certainement que je peux savoir exiger plus de moi-même que des autres. Mais je ne connais personne que j’ai plus de mal à diriger que moi-même alors je travaille désormais à reprendre la direction de ma personne, de mes pensées, des émotions, de mon imaginations, de mes mots, de mon attitude, de mes habitudes. On progresse plus facilement ainsi soi-même et avec les autres que le fait de penser que le problème est dehors.

9. Le problème n’est pas dehors

C’est une chose que je savais avant. Mais là, vraiment je le sais plus que jamais : personne n’est mon problème. Alors là personne. Les gens peuvent me distraire mais il suffit que je refuse de me laisser distraire. Ce n’est pas facile mais il suffit que je décide de comment je veux me sentir. Et mon problème sera réglé en bonne partie.

10. Ce qui m’arrive n’est pas aussi important que la façon dont je décide d’aller

Savoir que c’est à moi de décider comment je vais me sentir, que c’est à moi de garder la source de commandement de mon attitude m’a permis de supplanter certains défis et c’est un principe que je vais appliquer pour la vie. Ce que l’autre est, me fait et dis sur moi n’a pas importance. Ce qui importe, c’est la façon dont je dois me sentir pour m’améliorer et produire de meilleurs niveaux de résultats s’il a raison. S’il a tort, je vais me concentrer à m’améliorer et à améliorer mes résultats.

 11. Il peut arriver que j’aie affaire à une personne à basse attitude (PBA)

Il m’est arrivé de m’énerver à cause du comportement de l’autre. J’ai mal vécu cela toute ma vie. Mais en 2016, j’ai appris qu’il peut arriver que j’ai affaire à une personne à basse attitude (PBA) ou encore Leader à Maturité Limitée (LML). Ceux-là tirent toujours le débat vers les bassesses et privilégient leur ressentiment personnel à toute recherche de résultat serein et certain. Désormais quand je tombe sur une personne qui surfe à basse attitude (pas altitude), je me dis : « Oh en voilà une PBA, que dois-je faire pour ne pas surfer à basse attitude comme lui ? Que je dois faire pour privilégier le résultat? ».

 12. Le ressentiment personnel (ou la frustration justifiée) fait vraiment perdre du temps

Lorsqu’une personne décide de privilégier ce qu’il sent personnellement à ce qu’il doit sentir et faire absolument pour avoir du résultat, il sabote tout et vous fait perdre du temps. Je rends grâce que désormais mon ressentiment personnel ne prend plus le dessus que quelques secondes. Je vais continuer le travail parce que c’est important. J’ai perdu trois opportunités d’affaires et de résultats à cause du ressentiment personnel. Je m’en suis défait une fois pour toute.

 13. Vous ne pouvez pas faire comprendre à une personne plus que ce que sa maturité lui permet de comprendre

Il y a des principes que vous n’avez pas besoin d’expliquer ni de faire appliquer à certaines personnes tant qu’ils n’ont pas atteint le vécu, l’expérience et la maturité nécessaire pour les comprendre. La bonne nouvelle est qu’une fois qu’ils l’ont atteint, ils se disent : « Aha, c’est maintenant que je comprends ce que X ou Y me disait ». Ils vont vous en vouloir et vous combattre tant qu’ils n’atteignent pas la maturité requise. Désormais, je ne fais plus certains débats avec certaines personnes parce qu’il n’est pas sûr que nous surfions à la même altitude mentale, émotionnelle, créative, stratégique et attitudinale du fait de leur niveau de maturité et des niveaux auxquels ils ont tendance à ramer.

 14. Il y a un travail (une douleur) de l’ombre qu’il faut accepter et que le public ne voit pas et il ne faut surtout pas s’en plaindre

C’est super sympa d’avoir des admirateurs. Parfois ils peuvent être très exigeants envers vous quant à ce que vous devez être, ce que vous devez faire et ce que vous devez avoir pour continuer de leur plaire ou d’avoir leurs applaudissements. J’ai compris en ce mois d’avril que cela vaut la peine et que le public ne se préoccupe pas des douleurs que je dois supporter, il attend mes résultats. Et si je veux être un leader, je dois me concentrer à produire du résultat au lieu de me tordre de douleur dans l’espoir de justifier ainsi mes failles. Je dois exceller sans explication. Point.

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